RONN MCFALLEN  
salut. tu avais lancé, à cette belle fille du nom de Zelda. Après quatre ans, tu as enfin décidé à aller lui parler. Ouais, car ça faisait quatres ans que vous vous connaissez tout les deux, enfin de vue. Vous avez prit le bus ensemble, vous avez eu le même lycée du coup, vous vous êtes vu forcément, une fois par jour. Mais jamais vous vous êtes adressé la parole, pourquoi? Car vous êtes totalement différent. Toi tu étais la Bête et elle, la Belle. Tu étais populaire elle, ni trop exilé ni trop populaire, tu bossais pas, elle bossait, tu fumais et tu buvais pour elle c'était impensable. D'ailleurs, elle a toujours cru que tu t'en foutais d'elle, mais en vrai, elle t'intriguait, tu l'avais repéré cette belle fille aux cheveux châtains et aux yeux verts. Eh bah il fallait attendre ce voyage scolaire en direction de l'Espagne, en bus, pour que tu ailles la voir et la saluer. Il était une heure et tout le monde dormait dans le bus, tout le monde, sauf toi et elle. Alors tu te lèves et décides de te mettre à ses côtés. Zelda c'est ça ? elle ôta sa tête de la vitre et te regardas avec ses beaux yeux verts. ah, tu sais mon prénom, Ronn ? tu ricanas faut croire que tu sais le mien aussi. elle baissa la tête en rigolant légèrement. Tu souris. Vous avez passé la nuit à parler de tout et de rien, à rigoler. Enfaîte, cette fille est sympa, vraiment sympa. La preuve, durant tout le voyage scolaire vous avez sympathisé. Tu l'aimais bien cette fille, elle te faisait sourire et t'aimais sa présence à tes côtés.
Le dernier jours du voyage, la professeur avait annoncé une nouvelle qui réjouissa tout le monde: vu que c'est le dernier après-midi que nous passons à Barcelone, on vous laisse deux heures de temps libres. On se rejoint devant le bus dans deux heures pour ensuite, partir. Tu partis avec ta bande de pote dans le sens inverse de Zelda et sa bande. Tu t'es carrément éclaté avec tes potes, tu n'oublieras jamais cet aprem fantastique, à essayer de choper les numéros de quelques espagnoles et à faire les boutiques à côté de ça, t'as aussi prit pleins de photo avec un espagnol qui c'était déguisé en Marilyn Monroe. Mais comme toutes choses ont une fin, vous décidez de partir en direction du bus. A l'arrivé, les professeurs faisaient l'appel. Il y avait tout le monde, sauf une. Zelda. Alors, tu t'éclipsas du groupe de gens et fila comme une flèche dans les rues de Barcelone. Bichette, tu l'imagines déjà seule, dans la rue, en pleurant, ne pouvant pas demander son chemin vu qu'elle était pourrie en espagnol. Comme toi d'ailleurs, alors tu décides de la chercher au talent. RONN ! tu entendis et tu repéras à qui était cette voix: celle de Zelda, tu te retournas avec un beau sourire et elle sauta dans tes bras. Tu passas tes mains, rassurées, contre ses cheveux soyeux, tu enroulas tes bras autour de son buste et la serra fort contre toi, en respirant son odeur si réconfortante, si floral, si douce pour toi. J'ai eu si peur.. et c'est alors que tu lui chuchotas: t'inquiète pas, je suis là maintenant vous vous décrochez l'un de l'autre et partit, mains dans la mains.  Vous vous asseyiez à côté dans le bus et tu finis, le soir, par t'endormir avec elle; elle, posée sur ton épaule et toi, contre sa tête.
éclipse de deux mois.
toujours aussi proche tout les deux, vos deux places dans le bus ne sont jamais prises car vous les avez baptisées à votre nom. C'est fou cette complicité, d'ailleurs, tout le monde pense que c'est ambigus. Enfin.. Que c'était ambigus. Oui, car Zelda ne te parle plus et ça, du jour au lendemain. T'es assez énervé, comment elle t'a pu lâché comme ça? Elle répond plus au message, ni même sur facebook et quand t'essayes de lui parler réellement elle te fuit. Donc t'as préféré arrêté de courir après elle. Déjà que c'est pas dans tes trips de courir après une nana. Mais bordel, ça te fait vraiment chier de plus lui parler. Mais qu'est-ce que tu veux, t'es amoureux gars mais ça, tu le sais depuis que t'as eu la peur de ta vie qu'elle soit perdue à tout jamais à Barcelone.
A la fin d'une journée, tu décides de raccompagner une fille qui soit disant "avait peur de se faire attaquer dans les rues sombres de son quartier". Après l'avoir racompagné, tu passes dans une rue pour aller vers chez toi. Eh, toi cries-tu dans cette ruelle. Tu t'approches du gars en courrant, puis en ralentissant ta course, t'es choqué: une femme était couverte de sang et de bleus, elle pleurait de tout son corps, elle pleurait de peur et de souffrance. Le gars, s'approche de toi. écoute-moi bien gamin, ce qui se passe là, t'en fait abstraction dans ta putain de tête et tu fais demi-tour, sinon, j'te réduit en cendre ok ? tu le regardes d'un air provoquant puis tu ricanes. Tu peux large le battre ce gars, non mais sérieux, c'est pas pour te venter mais tu peux. Tu t'es battu avec plus pire et, les gens qui t'ont apprit à te battre dans la rue, crois-moi, vaut mieux pas les faire chier. ton gamin tu te le gardes chéri, rentre chez ta mère fils de chien avant de lui donner un poing dans sa face. T'avais déclaré la guerre mais tu l'as gagné. T'es content mais c'est pas trop le moment de s'en réjouir. Alors, tu choppes le bras de cette fille et l’emmène loin du bras en courant. Puis, arrivé dans une route plus civilisée tu lui lâche le bras et tu te touches ta lèvre interne: elle est ouverte. Puis, t'as mal à ta tête aussi, à l'arrière, tu touches puis regarde ta main: tu saignes pas mal. tu vas bien Ronn ? t'es choqué. Tu reconnaîtrai cette voix entre mille. Tu lèves la tête et vois Zelda en face de toi. Zel.. Zelda? T'es carrément choqué. Attend, Zelda avait un gars qui l'a frappait? Ca expliquerai donc pourquoi elle ne t'a plus adressé la parole.
Il pleut. Elle décide de te soigner malgré tout, en allant acheter ce qu'il faut à la pharmacie. Aie! dis-tu d'un ton soudain. Attend, c'est bientôt fini. après avoir entendu le bruit du ciseau coupé le sparadrap tu la regardas. Tu te.. enfin.. elle te regarda avec un regard vide Oui. Je me faisais frappé par ce gars, personne ne le savais. Même pas ma famille, mes amies.. Personne. J'ai préféré de ne pas le dire car j'avais honte et j'arrivais pas à le dire.. elle baissa la tête et commença à faire naître des larmes. mais j'ai cru qu'il allait finir par se calmer avec ses coups.. Mais non, chaque jour c'était un peu plus fort, sans que je m'en aperçoive.. Je t'ai plus adressé la parole parce qu'il m'avait vu avec toi et après m’être prit des coups de poings et des coups de ceintures, je lui ai promis de ne plus te parler. et.. tu la regardas pleurer. T'étais choqué. Bah merde alors. Tu plaças ta main sous son menton et le leva à l'aide de ta main. chut, n'y pense plus chaton, c'est fini, je suis là. et tu l'as prit dans tes bras, tu sentis des larmes imbibé ton pull, sa respiration et son expiration contre ton pull.
Vous avez donc décider de rentrer, sous la pluie. T'étais devant un immeuble. si tu as besoin de m’appeler ce soir, ou quoi.. tu peux. Même à quatre heures du matin vous lâchez tout les deux, un fin rire. Bah oui, y'avait que vous pour vous appelez à une heure pareil les soirs. Elle se retourna après t'avoir donner un bisou sur le creux de ta bouche. Puis, avant qu'elle ouvre la porte tu l'as choppas par le poignet et l'amena vers toi pour l'embrasser. Putain, ça fait du bien. Tu as enfin eu ce que tu voulais. Ses lèvres contre les tiennes, ta sensation est inexplicable, tu voudrais tant que ce moment dure plus longtemps mais, vous retirez vos lèvres et tu l'as regardas, s'éloigner en t'offrant un sourire nerveux en se mordant la lèvre. Après deux mois d'amour pour elle, t'as enfin eu les couilles de l'embrasser.

PSEUDO   sâche que si tu prends ce scénario, tu auras tout pleins de lien.   t'en aura un avec le frère jumeau de Ronn qui est Reese, un lien avec Alysha qui est comme une soeur pour Ronn. Puis, Prudence & Iago car Ronn, Reese, Alysha, Prudence & Iago ont en colocation ensemble.

PSEUDO   ici tu parles du lien qui unit vos personnages, de son évolution, et tu tcharles, tu tcharles, tu tcharles.