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suite à une surpopulation féminine, merci de privilégier les personnages masculins. je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) 1647362613
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 je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)

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MessageSujet: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptyVen 20 Nov - 19:14

Son thorax monte, se contracte et se relâche, en rythme avec ses pulsations cardiaques. Elle est loin de cette chambre, loin de ce lit, loin de tout. Ses pensées ont quittés le port pour laisser place aux doux songes qui se pointent seulement la nuit tombée. Droite comme un i, elle tourne sur elle-même et  observe la pièce complètement vide. Seule les murs au papier peint complètement défraîchi reste habillés de cadres photos en noir et blanc. Après avoir lancé un appel quand à la présence de quelqu'un qui reste vain, elle s'avance, sourcils froncés, vers ce fameux mur; touchant du bout du doigt, elle observe ces derniers. Une photo de mariage des plus banales où la mariée tient d'une main son bouquet et de l'autre sa longue traine tandis que son époux encadre sa taille d'une main, une mère tenant un nouveau-né dans son bras, deux enfants riant aux éclats dans une petite voiture les cheveux au vent. Le dernier cliché tranche avec les précédents, la monotonie du noir et blanc ayant laissé place à de couleurs plus vives. Ses prunelles posées sur celle-ci, Prudence eu un mouvement de recul. Ce visage aux courbes enfantines, c'est le sien. Une figure entachée par des bleus et une coupure au niveau de l'arcade sourcilière. Reculant d'un pas, elle sent son dos taper contre quelque chose. Elle se retourne et découvre le visage dur de son père. Dans sa main, une barre en ferraille. Il la lève et s'apprête à la cogner contre elle. Ses paupières s'ouvrent alors et ses iris papillonnent partout dans la pièce. Une main sur sa poitrine elle tente tant bien que mal de redonner à son palpitant une allure normale. Un soupir s'échappent de ses lèvres. Maudit cauchemar, venant sûrement du fait qu'elle va rendre visite à ses parents dans quelques jours. Une situation que la jeune femme vit très mal et dont elle ne peut parler à personne. Elle se contente de prier pour que son père n'ait pas la main trop lourde sur l'alcool. Se retournant, elle fixe son radio-réveil. Six heures quarante-cinq. Une grimace se dessine alors sur son visage, dégoûtée de voir sa nuit perturbée par des histoires sorties du placard. Ses yeux se ferment finalement, le corps de Prue souhaitant retourner vers le sommeil.
Le bruit d'une porte de placard eu raison de cette envie presque vitale. Elle tend l'oreille et peut se faire une idée de se qui se trame de l'autre côté de la cloison. Merci l'idée de prendre la chambre la plus près de la pièce de vie. Quelque chose qui est posé sur la table, un couvert tapant sûrement contre une assiette. Et puis un bruit de fond. Pas de doutes, encore un des garçons qui s'est barré en soirée et qui a prit l'appartement pour une maison d'hôte. Se levant brusquement, elle enfile un sweat deux fois trop grand et que Reese a dû oublier dans sa chambre. Une fois dans la pièce principale, elle s'arrête devant le canapé. Ronn est là, comme un gosse avec ses dessins animés et son bol céréale. Prudence lui lance un regard lourd de reproches. « c'est un blague? tu as vu l'heure qu'il est au moins? » l'incendie-t-elle, pointant son pouce vers l'horloge du salon. Elle fixe d'ailleurs cette dernière à deux reprises. « attends, tu rentres de soirée ou tu es tombé du lit? » lui demande-t-elle, grimaçant légèrement. Finalement, elle attrape le plaid qui se trouve sur le canapé et finit par s'installer sur le fauteuil d'à côté, une moue boudeuse en prime. « tu viens de ruiner ma seule nuit qui me restait avant vingt-quatre heure de garde. j'te déteste. » surenchérit-elle, s’enfonçant encore un peu plus dans son siège.
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptyVen 20 Nov - 21:29

Minuit. Tout le monde dort. Sauf toi. Toi, t'es encore sur le canapé en d'en re fumer une. Tu peux faire que ça. Tu passes de clope à doliprane, de doliprane à aspirine, d'aspirine à.. La télé éteinte essayant de dormir désespérément de chercher le sommeil. C'est fou comment un mal de tête peu te bousiller une soirée. T'es mal, ta tête.. c'est comme un marteau tapant continuellement sur un clou, à la même vitesse, et cela, depuis que t'es rentré de la soirée d'hier. T'avais déjà un mal de chien pas possible au niveau du ventre, t'as squatté les toilettes, à gerber comme un chien, jusqu'à ton départ chez.. Cette fille. Mais, t'as passé une soirée de rêve chez elle, c'est vrai : t'as pu toucher sa chair qui frissonnait à chaque parcours de ton doigt sur son corps, tes bisous si sincères contre sa nuque, chaude à cause de sa folle envie de passer sur le lit, ses doigts qui tenaient fermement ce drap blanc et tu finis par t'endormir à son dernier soupir, à son dernier soupir d'avoir passé une nuit extraordinaire qui n'avait pas frappé dans sa vie depuis bien quatre mois. Et c'est, le matin, à onze heures que t'es rentré à l'appart. T'étais content de rentrer : t'avais vraiment mal à la tête et l'envie de gerber était revenue dès ton réveil chez cette fille. T'as passé ta journée sur le rebord de ta fenêtre à fumer en boxer, ayant la flemme de t'habiller, la flemme de te laver ou ne serai-ce que, de passer ta foutu tête dans un foutu lavabo ? Non, t'avais la flemme de tout.. Sauf de courir, dans la même direction, c'est-à-dire celle des toilettes. De la javel, tu mettais sans cesse, car l'odeur de vomis ce n'est pas top.. T'avais même mis un peu de parfum de Prudence, en cachette, tu sais, ce parfum si floral que tu t'es jamais lassé, ce parfum que t'aime sentir quand elle passe d'un coup de vent. Mais ça, elle le sait car t'arrête pas de lui dire et d'ailleurs, elle aime quand tu lui dis ça.
Tu rentres dans ton lit, en t’affalant et, en faisant gaffe de pas plaquer ta tête contre ton cousin à la vitesse de la lumière, car tu sais très bien qu'après, t'as un écho insoutenable de vingt minutes qui rôde dans ton crâne. Tu cherches le sommeil, désespérément. Pour ça, tu te mets dans toutes les positions possibles, tu joues secrètement à la DS car Dieu sait que tu aimes jouer à Mario Bross avant de dormir. Mais même ce petit mexicain rouge ne peut rien faire pour toi. Alors, tu passes sur la case insta, facebook, pour rigoler sur les statuts bidons des nana qui se plaignent que leur gars les a quitté, ou les gars qui postent une photo d'eux en montrant leurs abdos. Tu trouves ça pathétique et t'en rit. Tu te lèves, tu vas voir ton frère, Alyssa, tu restes un moment auprès d'elle. Tu passes devant la chambre de Prudence et tu vois l'agitation de son sommeil. Tu trouves ça bizarre, car normalement, quand elle dort, elle est calme, comme un princesse.
Il est six heure et trente minutes, tu décides alors de te lever après une petite heure de sommeil trouvée. Alors, tu chopes le paquet de céréale, les yeux mi-clos avec un bol, du lait, chocolat. Tu files devant la télé, tu l'allumes et commence à manger. Tu trouves, enfin, un petit sourire, depuis tes deux jours de maladie. Y'a les Tortues Ninja à la télé. La chance commence à te sourire, essaye de la saisir Ronn. Puis, tu entends des pas fins sur le sol froid. Tu tournes la tête et tu vois Prudence, assez agacée ayant quand même, une tête de bébé endormit. L'heure qu'il est.. Six heures quatre-cinq. Tu regardes en direction de l'endroit où est pointé son doigt. Tu prends une grande mais scilencieuse inspiration en posant ta tête sur la paume de ta main. et d'une petite voix maladive et matinale tu sors: " excuse-moi princesse, mais j'ai du mal à trouver le sommeil.. Je l'ai même pas trouvé. Je met moins fort, si tu veux. " tu prends la télécommande et baissas le son à la vingtaine. A vrai dire, ça te fait du bien, c'est plus calme. Tu ricanes à sa question. Si seulement tu auras pu sortir.. " j'aurai tellement voulu, si tu savais. Mais vu comment j'ai gerbé, j'ai pas oser. " et c'était une sage décision, Ronn. Pour ne pas changer, tu n'hésites pas de la chercher, alors tu marques un maigre sourire en coin et la regardant. " d'ailleurs, si tu  te demandes pourquoi ton parfum est presque vide.. va au toilette et tu auras ta réponse. " tu prends une cuillère de céréales plongée dans le lait froid. Putain mais ça te fait un bien fou cette sensation de froid dans ta fine gorge en feu. Tu remarques qu'elle est entrain de se placer dans le fauteuil d'à côté, tu souris en regardant ta cuillère que tu cesses d'agiter dans le lait. Elle te fait du bien, sa présence. Douce Prudence, celle qui t'apportes, chaque jours, un peu de douceur. " ohhhh, mon pauvre chaton.. Tu peux finir ta nuit dans mes bras si tu veux.. " en lui faisant un clin d’œil. Puis, qui c'est, ça t'aideras peut-être à trouver le sommeil? T'as jamais dormit avec elle, tu peux toujours essayer. " Tu sais, je suis très malade et.. j'ai besoins d'un doudou pour dormir.. ça m’apaise.. " dis-tu avec une voix faussement tremblante mais sincèrement malade. Tu joues avec tes doigts et tu lui adresses un petit regard de gentil petit garçon. " tu veux pas être mon doudou, rien qu'à moi, aujourd'hui ?.. "
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptySam 21 Nov - 20:36

Prue baisse les yeux un instant avant de se regarder. Il est clair que si c'était un cambrioleur qui avait fait éruption dans leur salon, il serait parti en courant en la voyant habillée de la sorte. De grosses chaussettes en laine remontant jusqu'au genoux, un large short et ce sweet infame appartenant à Reese et qui, pour le bien des yeux de ses colocataires, doit sérieusement penser à le mettre à la poubelle. Quand à ses cheveux, il ne doivent ressemblent qu'à un amas de mèches plantés sur le dessus de son crâne. Peu importe. De toute façon ce n'est que Ronn, ce n'est pas comme la reine d'angleterre avait décidé de leur rendre une petite visite surprise. Elle fixe alors l'auteur de tout ce vacarme. Assis en tailleur sur le canapé, son bol près du visage et son petit air coupable, il ressemble à un enfant que l'on vient de surprendre en train de faire une bêtise. Bien qu'elle crève d'envie de lui passer un savon, finalement elle baisse les armes, attendrie par cette petite tête et cette petite mine. Elle tire sur ses manches afin de pouvoir mettre ses mains dedans, puis acquiesce. Pas sûre que s'il réveille les autres membres de la maison ces derniers aient la même réaction qu'elle. Son frère serait sûrement le premier à gueuler. Un léger rire s'échappe des lèvres de la jeune femme alors qu'il lui raconte le pourquoi du comment. En effet, vu sous cette angle, je pense que les gens peuvent le remercier de ne pas l'avoir croiser sur leur route. Elle se retourne un instant, se baisse pour prendre son sac qui traîne non loin. Elle en sorte une boîte qu'elle lui lance. « tu devrais prendre ça, c'est du paracétamol. ça devrait te soulager un peu. et bois du coca sans bulle, ça fera du bien à ton estomac. » le conseille-t-elle en prenant alors le plaid. Un simple réflexe dû à son travail. Et elle n'a pas vraiment envie de choper sa gastro. Ses yeux prennent la forme de deux billes suite à sa révélation. « et bien tant pis pour toi, tu ne pourras plus profiter de mon parfum. c'est bête, toi qui l'aimais tant... » lance-t-elle, haussant un sourcil. Vissée dans son fauteuil, son visage se niche dans le creux de sa paume alors que son corps tout entier est plongé sous le plaid, la fraîcheur matinale étant bien présente. Ses prunelles se posent en première sur l'écran de télévision où des tortues chassent des méchants et mangent des pizzas. Curieux concept. Niveau dessins animés, Prue est une novice. Chez elle, enfant, elle avait très peu le droit de regarder la télévision qui était nocive et qui façonnait des esprits étroits d'après sa mère. Finalement elles atterrissent sur Ronn dont le sourire vient de pointer le bout de son nez. Ses yeux roulent alors qu'il commence son éternelle provocation. Il ne peut pas s'en empêcher, même lorsqu'il est presque à l'agonie. C'est bien ce qu'elle préfère chez lui. Son humour, cette facilité à tout passer en dérision. Et Prudence est une bonne cliente, elle qui rit dès qu'il sort une blague. « jamais de la vie, tu sens trop mauvais. » le tacle-t-elle. Bon, ce n'est pas totalement vrai, mais ce n'est pas totalement faux non plus. Mais elle n'ira certainement pas vérifier. « mais tu n'as qu'à demander à Molly. Ou à Elisabeth. Ou à Ana. Ou à cette fille, celle qui avait un nom de fruit... j'l'aimais bien celle-là. je suis sûre que l'une d'entre elle serait ravie de jouer les bouillottes géantes pour toi. » finit-t-elle par dire, un grand sourire sur les lèvres.
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptyDim 22 Nov - 17:12

La discrétion et toi, ça fait deux. T'es autant indiscret qu'un putain d'éléphant. T'as juste choppé un bol, du lait et des céréales et voilà que tu es arrivé à réveiller la belle Prudence. Mais par chance, ton frère n'a rien entendu, vu les ronflements qu'il peut sortir de sa bouche. Après avoir vu Prudence, tu la regardas de haut en bas et tu lâchas un faible rire à peine audible en regardant l'état du pull de ton frère et ses sales chaussettes en laines qu'elle portait, moqueur que tu es. Pourtant, t'en a bien l'habitude des tenues dégueulasses de Alysha & Pru pouvaient te montrer.. Mais elle, faut dire qu'elle battait tout les records. Tu t'assieds sur le canapé, en mangeant tes céréales qui se trouvaient dans ton bol avec du lait froid. Faut dire que toi, t'es vraiment unique: la plupart des gens mettent leur bol de lait dans le micro-onde. Mais toi, tu détestes ça. La première et dernière fois que t'en avais bu, t'as direct tout recraché sur le magnifique costard de ton père, stressé pour sa réunion. Tu hais le chocolat chaud désormais. Le froid c'est carrément meilleur, puis faut dire que ça te produit un bien fou la sensation du lait froid qui passe dans ton œsophage brûlant et irrité des vomissements. Ça te fais bizarre, à toi, tu ne tombes jamais malade. Mangeant tes céréales dans le lait froid et en visionnant les Tortues Ningas, Prudence se leva et se dirigea vers son sac. Tu arquas un sourcil d'un air interrogateur. Que va-t-elle faire? Puis, tu vois une boite atterri entre tes jambes. Tu pris la boite et l'ouvra quand elle t'annonça ce qu'il fallait faire. Tu fis apparaître un petit sourire en coin avant de tourner ton regard vers elle. merci sainte sœur avant de lâcher un rire discret pour sa réveiller les autres. Tu te lèves, fis un bisou sur le front de Prudence et file à la cuisine pour faire ce qu'elle t'a dit. Tu ricanas à sa phrase. Puis, tu retournas au salon. on ira en racheter un ensemble alors, tu vas voir, avec mes conseils du va sentir encore plus bon. tu marquas un temps de pose avant de reprendre. puis, on prendra un parfum fort aussi, pour camoufler l'odeur dégueulasse du déo de Reese avant de lâcher un rire. C'est vrai que tu n'a pu supporter cette odeur, t'es obligé d'aérer la salle de bain avant de pourvoir te laver. Mais remarque, qu'aimes-tu chez ton frère? Il aura beau porter un pull qui lui va comme un gans, tu trouveras toujours un truc comme quoi ça lui iras pas. Ton corps entier sous un plaid, tu lèves légèrement la tête en direction de Pru, après lui avoir demandé de te faire un câlin avec des yeux de chiens battu. Sa réponse t'étonna même pas. Elle est tellement inaccessible cette Prudence, mais ça en fait une fille formidable. Tu tournas ton regard sur la télé après avoir déposé ta tête contre l'accoudoir du fauteuil en soupirant. t'es trop méchante avec moi Pru.. Je suis sûre que, si je suis entrain de mourir à l'agonie t'appelleras même pas les urgences.. Pour pire, si je suis entrain de crever par un arrêt cardiaque, même pas tu me ferais un massage cardiaque.. J'espère que Dieu te puniras. tu marquas un temps de pose, et d'une voix de petit garçon boudeur: c'est même pas vrai que je pue d'ailleurs. C'est fou comment tu peux être un gars responsable, posé, sérieux comme un garçon gamin, je m'en foutiste & boudeur. Mais on t'aime comme ça. Tu te levas pendant qu'elle était entrain de te parler et chopa un paquet de clope ainsi que le briquet lorsque ton pied commença à trembler. Secrètement, tu vas voir le médecin pour tuer ta maladie du nom de Parkinson. Mais, par chance, t'as signalé cette maladie dès son début et maintenant, faut dire que ça va mieux. Beaucoup mieux. Tu allumes une clope et lâcha une bouffé d'air tout en rigolant. "un nom de fruit" t'avait-elle sorti. Mirabelle. C'était Mirabelle. Bon j'avoue qu'elle avait un nom de merde. Mais sache que je me suis éclaté sous la couette avec elle.. Mais soit pas jalouse mon chat, toi aussi tu passeras sous mes draps. tu marquas un temps de pose. si Dieu le veut. avant de rire. Tu laissas un blanc puis râla de plus belle: mais allez ! Pru, j'ai besoins d'affections, de la vraie. en boudant. Femme sans cœur. Tu pris une bouffé de tabac avant de reprendre. Attend, reste là, bouge pas. tu laissas ta clope en plan, sur le cendrier et partis en direction des toilettes. Tu gerbas de plus bel. Enculé de gastro. Tu restas un bon moment au chiotte avant de partir en direction de la salle de bain. Tu pris ton parfum et t’aspergeas de celui-ci avant de retourner voir Prudence. Bon, pour toi, je me suis parfumé. L'odeur n'est plus un problème, donc tu peux venir me faire un câlin maintenant. les yeux frétillants. Tu t'approchas du fauteuil où elle avait prit place et t’accroupis pour être légèrement plus bas qu'elle. En plus, tu peux même m'embrasser si tu veux, j'ai mit du parfum dans ma bouche.. T'es vraiment un gamin Ronn, t'es vraiment prêt à tout pour un câlin ou un bisou de la douce.
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptyLun 23 Nov - 13:47

Ronn peut bien se moquer de Prue. Les cheveux en vrac, le teint grisâtre, elle n'a rien à lui envier. Elle au moins elle ne tient pas compagnie aux toilettes. Elle va parfaitement bien et compte bien le rester. Hors de question qu'il lui refile sa gastro, alors autant neutraliser la bête maintenant. Sortie de sa douce torpeur, le sommeil s'étant fait la mal, elle se surprend à apprécier avec Ronn devant les Tortues Ninja plutôt que son lit douillet. Plutôt étrange, non? Levant ses mains vers sa chevelure pour refaire un chignon plus décent, elle rigole suite à sa remarque du jeune homme. Sainte soeur, cela pourrait presque être cela. Toujours à essayer de répandre la douceur et la paix partout où elle passe, avec plus ou moins de succès. Du moins, c'est ce que les autres disent à son égard. Pour Prue, c'est plutôt malgré elle. Elle se contente de sourire, de donner le plus de conseil possible, d'aider les autres et d'être plus tolérante chaque jour qui passe. Et ça marche, enfin la plupart du temps. Son regard suit le trajet de Ronn et un sourire se dessine sur ses lèvres. Il a beau se moquer d'elle, il suit tout de même ce qu'elle dit à la lettre et il pourra très certainement la remercier plus tard. La seconde remarque de Ronn décoche un autre sourire à la jeune femme. « c'est gentil, mais je n'ai pas envie de sentir la poule de luxe. » lance-t-elle, haussant brièvement les sourcils. Oh c'est une certitude, les parfums de femme, ça le connaît. Vu le nombre de filles qui défilent ici, il doit même les connaître par coeur. Un pique à son frère, cela ne l'étonne même pas. Même si au fond, il ne peuvent pas se passer l'un de l'autre, ils sont bien trop fiers pour se l'avouer et préfère se provoquer et se balancer des vacheries à la figure, tel un combat de coq. Cela peut être aussi drôle qu'agaçant. Mais c'est aussi ce qui fait de leur relation quelque chose d'attendrissant. Ronn geint, fait mine d'être un petit garçon malheureux et délaissé and dépeignant un portrait de Prue peut flatteur. Elle hausse à nouveau les sourcils avant qu'il ne se froncent.  « serais-tu en train de remettre en cause mon job, ronn mcfallen? parce que s'il t'arrive quelque chose, je serais la première sur place et j'me ferais un malin plaisir à te choquer à grands coups de défibrillateur. » rétorque-t-elle, accompagné d'un sourire des plus hypocrites. Qui sait, peut-être que ça lui remettra les idées en place. « et ne mêle pas dieu à tout ça! » s'exclame-t-elle doucement, prenant le coussin qui est calé dans son dos afin de lui jeter à la figure. Si ce dernier l'entend, elle est sûre qu'il serait fustiger à la seconde-même pour avoir utiliser son nom à tord et à travers. Mirabelle, elle s'appelle Mirabelle. A l'évocation de son nom elle se rappelle de la jeune femme. Une blonde dont Iago avait fait la remarque qu'elle et Prue avaient un air de ressemblance; ce auquel elle s'était contenter de répondre par une grimace. Mais elle était sympa, vraiment. Pour le coup, il aurait peut-être pu la garder un peu plus longtemps qu'une simple nuit. Bien qu'elle respecte son mode de fonctionne, Prudence n'a jamais vraiment compris l'intérêt de coucher avec autant de femmes différentes. Finalement, que cela lui rapporte-t-il? Pas de respect en tout cas. « pitié, je ne veux pas en entendre plus. » dit-elle. « sache que je ne mettrais jamais les pieds dans ton nid à mst. » lui répond-t-elle. Elle ne veut même pas savoir ce qu'il y a dans cette chambre ni dans ce lit. Rien que d'y penser, ça lui donne la nausée. Ronn ne peut s'empêcher de râler comme un gamin à qui on a refusé d'acheter un jouet au supermarché. Encore un peu, et il se roule par terre à ses pieds. Elle soupire à son tour. « tu t'es jamais dis que si tu avais une petite-amie attitrée tu n'aurais pas à m'implorer pour avoir un bisous? » lui fait-elle remarquer. Après avoir été taxé de "femme sans coeur" selon ses propres dires, il la laisse en plan pour accourir aux toilettes. Prue se met alors à rire, imaginant ce pauvre Ronn sur ses toilettes en train de vomir tripes et boyaux. Une fois de retour, elle ne peut s'empêcher de lui faire une remarque. « là, je crois que c'est toi que dieu a puni. » lance-t-elle d'un ton faussement enjoué. Une énième requête et elle se retrouve avec Ronn à genoux devant elle. Elle plaque soudainement sa main sur la face du jeune homme. « c'est bien ce que je me disais, t'as de la fièvre. j'devrais peut-être t'emmener aux urgences, je crois que tu commences à être atteint de démence. » finit-elle par dire, retirant sa main.
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptyMer 25 Nov - 19:05

Enfaîte, t'apprécies d'être malade. Certes, t'es dans le mal toute la journée, où ta meilleure amie n'est qu'un putain de WC que tu repeins d'une couleur verdâtre qui pue en embaumant l'appart, les médicaments infectes avec lesquelles, même si tu prends un bon verre d'Ice Tea avec, bah ça passe toujours pas donc t'es obligé de faire face à ce goût fortement amer contre tes papilles qui te fais obligatoirement grimacé. Mais à côté de ça, tu restes un bon moment en compagnie de la belle Prudence et ça, ça te donnes le sourire aux lèvres. Elle t'apaise, donne un peu de légèreté dans ton corps, ta tête, ta conscience lourde. Puis, t'aime la taquiner, cette fille qui fait partie de ta belle bande depuis un bon moment. Elle était devenue indispensable cette fille, pour toi. Tu l'aimais beaucoup, même si la plupart du temps tu ne cessais de la taquiner et même si, parfois, les cris étaient les bienvenus entre vous. Ce que t'aimais bien aussi, avec Prudence, c'est que tu pouvais parler de tout comme de rien. Me dit pas que, tu serais entrain de parler de parfum avec une simple amie? Non, ces discutions-là, tu t'en passes. Mais, Prudence, c'est différent. Tu levas les yeux aux ciels et soupiras assez fortement pour qu'elle puisse l'entendre. Excuse madame est vierge et correcte alors il ne faut surtout pas qu'elle porte un parfum que mes plans culs portent en faisant levant les mains. A vrai dire, si Prudence sentirait le parfum de Cristalline, elle aurait été ta femme. Ce parfum que t'as tellement aimé sentir pendant votre rapport, ce parfum si sucré et féminin. Prudence ne porte pas un parfum qui pue, olah, loin de là. Toi même tu sais, d'ailleurs. Tu te souviens encore de la fois où t'as couché avec une vierge, la deuxième fille que tu as pu dépuceler dans ta vie. Elle avait vraiment une sale odeur de.. grand-mère? Enfin, tu peux t'estimer imbattable sur les senteurs des parfums. Pas mal de parfums féminins on parcourut tes narines. Tu grimaces à la fin de sa phrase. Madame ne serait même pas capable de te faire un beau bouche-à-bouche ? Tu n'y crois même pas. ah, mais fou moi ces trucs électriques sur mon beau force et tu regretteras d'être venue au monde, ma fille. avant de lui mettre un coup de poing, amical, sur sa jambe que tu atteins avec faiblesse, vu la distance entre ton canapé et son fauteuil. Tu mis ta main contre ta bouche, le visage faussement choqué merde.. tu crois qu'il me le pardonnera ? d'un air peu confiant, en te mordant la lèvre. Puis, un coussin t'atterris sur le visage. Tu l'as regardas d'un air de défis. je vois, madame est rebelle.. au point de jeter un coussin à un malade ?! Honte à toi, jeune pharmacienne. en jetant le coussin d'une force contre sa figure, en reprenant un air malade. En réalité, ton mal de crâne était passé. Ce médicament avait fait des miracles. Mirabelle. Drôle de nom mais une sérieuse au lit. Tu te souviens encore de cette nuit si agréable et divine. Pour toi, elle avait autant d'expérience que toi et ça t'as fait tellement plaisir. Elle te demanda de ne rien dire à propos de cette nuit, phrase qui t'a fait rire. Tu dirigeas brièvement, ta tête de droite à gauche: Rooooh ! Nid à mst. Ne soyons pas dans l'abus s'il te plait. tu marquas une pose avant de reprendre en émettant un faible rire, content de ta remarque. je l'aère tous les jours.. une petite-amie. Ça fait longtemps. Putain, ça te manque quand même. Parce que, c'est bien beau de se faire plusieurs femmes.. Mais ça mène à rien, juste à combler ton manque de sexe. C'est dans ses moments-là, où tu regrettes d'avoir fait le con avec pas mal de meufs, alors qu'elles auraient très bien pu être à la place de Prudence. Tu ne répondis pas, et tu te contentas juste d'avoir le regard vide, pensif.. Avant de courir direction: les toilettes. Pour dégueuler et placé des bruits dégueulasses. T'en a marre. Tu vas vers le salon en trainant des pieds, en imitant un pleure. Maaaaaaaais.. J'en ai maaaaare Pru Après t'avoir plaqué tes genoux contre le sol froid, elle plaqua sa main qui paraissait, pour toi, froide. Ca te faisais vraiment du bien cette sentation. Surtout le contact de ton frond chaud contre la main douce de Prudence. Tu fis les gros yeux à sa parole. Arrête Pru, c'est pas drôle tu commençais à flipper. T'avais une peur folle des urgences, des hôpitaux, un truc de fou. Tu rapprochas ton visage contre celui de la belle et en chuchotant, tu lui plaquas aux oreilles:moi je sais de quoi j'ai besoin. D'un bisou magique. Tu rendras service, et ça, Dieu ne pourra pas t'en vouloir, tu sais. en sentant le souffle chaud de Prudence contre ton visage.
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MessageSujet: Re: je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence)   je me fou bien du décalage entre immuable et imprévu. (ronnence) EmptySam 28 Nov - 2:50

Le moment des reproches est bien loin finalement. Comment pester contre un homme qui est presque à l'agonie? Et puis, il la fait rire Ronn. Terriblement rire. Ça a toujours été le cas. Déjà haut comme trois pommes, il était celui qui la faisait rire lorsqu'elle tombait et qu'elle se faisait mal et qui deux secondes après, la traitait de femelette dans le seul but qu'elle se relève. Ado, c'est lui qui se moquait du garçon qui avait brisé le coeur afin de ne pas lâcher de larmes. Même aujourd'hui, alors que son petit monde s'écroule il arrive à lui tirer des sourires. Il panse ses mots avec son humour malgré. Et même s'il lui tape sur le système, même si elle crie sur lui souvent, elle sait très bien que sans, elle ne tiendrait pas aussi bien qu'elle y arrive jusqu'à maintenant. Mainte et mainte fois, c'est vers lui qu'elle a voulu se tourner pour lui parler de ce père si violent, des mots si durs qu'il lui crachait à la figure, des bleus qui dévoraient son corps. Peut-être parce qu'il n'allait pas la prendre en pitié, peut-être attendait-elle une vacherie ou ne serait-ce qu'une blague de sa part pour oublier quelques secondes. Et puis, elle s'est ravisée, à chaque fois, croyant sûrement qu'il allait arrêter ce petit jeu à la minute où elle se serait dévoilée. Les yeux dans le vague un moment, elle finit par se relever pour atteindre la cuisine où elle ouvre le frigo. Elle attrape la bombe de chantilly, ce qui n'est, certes pas très diététique mais qui lui fait terriblement envie. Elle rejoint sa place en pouffant. « ronn, ronn, ronn... je vais finir par croire que tu n'y connais rien aux femmes. chaque femme choisit son parfum en fonction de sa personnalité. mais il est vrai que je n'ai pas envie qu'on me sente à trois kilomètres. » lance-t-elle avant d'enfourner de la chantilly dans sa bouche.  « merci, ô grand pape du parfum pour femme, mais je pense que je ferais sans toi. » continue-t-elle, ses yeux se posant une nouvelle fois sur la télé. Ronn fait partie de ces hommes qui croient que, sous prétexte que leur liste de conquêtes est aussi épaisse qu'un bottin téléphonique, connaissent les femmes par coeur. Leur anatomie, à la rigueur, mais pas le reste. La plupart du temps, ils ne prennent même le temps d'en apprendre un peu plus sur elle et se contente de leur prénom, recueilli dans le creux de l'oreille dans le fond d'une boîte de nuit. Alors prendre des leçons avec Ronn McCasanova, sans façon, Prue passe son tour. C'est un coup à finir avec une robe à ras la salle de jeu, une choucroute à la Fran Fine, ressemblant à un panda et se faisant klaxonner pour savoir ses tarifs. « je note, refus de se faire réanimer. dommage pour toi ronn, ma collègue adore le bouche-à-bouche. avant de tomber raide mort, essaye d'être à ton avantage, j'espère pour toi que tu ne ressemblera pas à... ça. » lance-t-elle, alors qu'il lui assène un "violent" coup sur la jambe. Elle lâche un "aïe" presque automatique et lui balance un regard noir avant de secouer la tête par la négative. Ça ne va certainement pas se passer comme cela, petit effronté qu'il est. D'ailleurs il renchérit en renvoyant à l'envoyeur le coussin. Elle lâche alors un cri de surprise, gardant la bouche grande ouverte pour lui "ôôôôôô combien elle est choquée de son comportement". « alors, ça c'est vraiment très mesquin venant d'un vendeur de vélo. tu me déçois ronn mcfallen. » rétorque-t-elle, retirant le coussin qui se retrouve juste au-dessus d'elle. Prue voit bien qu'elle touche un point sensible alors qu'elle évoque la possibilité, ou plutôt la minime possibilité d'avoir une femme dans sa vie de manière permanente dans sa vie. Ce n'est pas faute de lui avoir rabâché plusieurs fois, sans succès. Cependant, cette réflexion a l'air de le travailler et de faire son petit bonhomme de chemin dans sa tête. Elle en serait plus que ravie pour lui. Après tout, Ronn n'est pas que ce clown sur patte que tout le monde connaît, il est aussi un homme réfléchit et posé, bien que beaucoup ne le voit pas. Il arriverait sûrement à faire le bonheur de quelqu'un. Il se précipite une nouvelle fois aux toilettes et tente tant bien que mal de refouler son rire afin de ne pas réveiller tout l'appartement. Il revient, se plaignant comme le gosse qu'il est. Elle secoue la tête de gauche à droite. « dieu n'apprécie pas que tu te joue de moi ronn. » le titille-t-elle, alors qu'il se pose en face d'elle. Un sourire satisfait se pose sur ses lèvres alors qu'il prend peur. Encore un homme qui joue les durs mais qui prend peur au moindre bobo. Lorsque son visage se rapproche du sien pour se loger vers son oreille, elle ne peut s'empêcher de grimacer, se demandant ce qu'il peut bien avoir derrière la tête. Elle se recule derechef, avant de le regarder. « je ne suis pas du genre à pactiser avec le diable. » finit-elle par dire, alors qu'elle place la bombe de chantilly à la hauteur de son menton et recule de quelques centimètres. Elle appuie sur celle-ci et la chantilly atterrit sur le visage du jeune homme. « merde.. tu crois qu'il me le pardonnera ? » lui demande-t-elle, en l'imitant pour finir par pouffer de rire.
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